« Je pense que les peuples ont pris conscience du fait qu’ils avaient des intérêts communs et qu’il y avait des intérêts planétaires qui sont liés à l’existence de la terre, des intérêts que l’on pourrait appeler cosmologiques, dans la mesure où ils concernent le monde dans son ensemble ».
Pierre Bourdieu (1992)


mardi 9 janvier 2018

Yves Gingras, Histoire des sciences

Yves Gingras
Histoire des sciences
PUF
Que sais-je?
2018

Présentation de l'éditeur
Aristote, Euclide, Archimède, Ptolémée ou encore Galien ont inauguré une tradition scientifique qui a fait référence jusqu'aux années 1600. Mais à partir de cette date, de nouveaux instruments permettant de voir des objets jusqu'alors invisibles à l’œil nu (télescope, microscope…) donnent aux savants la possibilité de faire des mesures et des expériences de façon beaucoup plus systématique. La révolution scientifique « moderne » est en marche !
Or, depuis 1800, les disciplines et les spécialités n’ont cessé de se multiplier, fondées de plus en plus sur des instruments coûteux et une forte division du travail. Est-ce la raison pour laquelle les universités sont devenues les lieux privilégiés de la recherche et de la formation des chercheurs ?
C’est cette fabuleuse histoire faite d'évolutions et de révolutions que retrace Yves Gingras, une histoire qui est aussi une géographie...
Yves Gingras est professeur à l’université du Québec à Montréal (UQAM), où il est titulaire de la chaire de recherche du Canada en histoire et sociologie des sciences. Il est notamment l’auteur de L’Impossible Dialogue. Sciences et religions (Puf, 2016) et, en « Que sais-je ? », d’une Sociologie des sciences (no 3950).
 


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