« Je pense que les peuples ont pris conscience du fait qu’ils avaient des intérêts communs et qu’il y avait des intérêts planétaires qui sont liés à l’existence de la terre, des intérêts que l’on pourrait appeler cosmologiques, dans la mesure où ils concernent le monde dans son ensemble ».
Pierre Bourdieu (1992)


jeudi 28 mars 2013

Jean-Claude Werrebrouck, Banques centrales : indépendance ou soumission ?

Jean-Claude Werrebrouck
Banques centrales : indépendance ou soumission ?
Un formidable enjeu de la société
Yves Michel
2013

Présentation de l'éditeur
En ces temps de crise économique, on parle beaucoup des banques centrales. Indépendantes ou non vis-à-vis des États, émettrices de monnaie, « prêteurs en dernier ressort », quel est vraiment leur rôle et en quoi leur fonctionnement est-il révélateur de celui de nos sociétés ?
Les banques centrales, institutions logées entre pouvoir politique et pouvoir financier, expriment, dans leurs actions sur la monnaie, le rapport de forces – très complexe – entre ces deux pouvoirs. Et ce rapport de forces exprime lui-même un certain « état du monde ». C’est dire que bien déchiffrer l’identité et les règles du jeu de fonctionnement des banques centrales est un atout fondamental pour bien comprendre les caractéristiques et le fonctionnement des sociétés concrètes.
Ex professeur de sciences économiques à l’Université de Lille 2, Jean-Claude Werrebrouck s’est d’abord intéressé aux questions du développement, puis de l’économie pétrolière. Devenu directeur D’IUT, puis l’un des fondateurs des Instituts Universitaires Professionnalisés (IUP), il a orienté ses réflexions vers les questions liées au fonctionnement de l’Etat et du management public en général.
C’est l’avènement de la présente crise qui l’a invité à redéployer partiellement le champ de ses réflexions avec la publication récente de près d’une centaine d’articles sur ce qu’il appelle la « crise des années 2010 », et pour laquelle il a conçu un blog. www.lacrisedesannees2010.com
Jean-Claude Werrebrouck est aussi engagé dans des groupes d’actions et de réflexions tels « Roosevelt 2012 » ou le « manifeste pour un débat sur le libre échange ».

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