Pauline Gallinari
Les communistes et le cinéma
France, de la Libération aux années 60
France, de la Libération aux années 60
P.U.Rennes
Histoire
2015
Présentation de l'éditeur
A partir de sources écrites, cinématographiques et orales, cet ouvrage,
adapté d’une thèse de doctorat, s’intéresse au rapport qui existe entre
cinéma et communisme en France de la Libération au milieu des années
1960. Initiée par le pôle communiste, qui s’apparente à cette époque au
PCF, cette relation est très riche et suivie tout au long de la période
étudiée. Dès la Libération, les communistes français cherchent d’une
part à agir sur le champ cinématographique, en voulant résoudre les
problèmes qui s’y posent.
D’autre part, les communistes entendent agir avec le cinéma. Le considérant comme un instrument utile à la propagande de Parti, ils encouragent la réalisation de films communistes. Ce «cinéma de Parti» est également alimenté par le cinéma d’Europe de l’Est et plus particulièrement par le cinéma soviétique. Le projet cinématographique du PCF est donc très ambitieux. Partagé par les communistes, il pose néanmoins de multiples questions dans sa mise en oeuvre.
Porté par une réelle volonté politique, il fait en tout cas du PCF un parti dont l’intérêt pour le cinéma est sans équivalent en France dès la Libération.
D’autre part, les communistes entendent agir avec le cinéma. Le considérant comme un instrument utile à la propagande de Parti, ils encouragent la réalisation de films communistes. Ce «cinéma de Parti» est également alimenté par le cinéma d’Europe de l’Est et plus particulièrement par le cinéma soviétique. Le projet cinématographique du PCF est donc très ambitieux. Partagé par les communistes, il pose néanmoins de multiples questions dans sa mise en oeuvre.
Porté par une réelle volonté politique, il fait en tout cas du PCF un parti dont l’intérêt pour le cinéma est sans équivalent en France dès la Libération.
Pauline Gallinari est docteure en histoire contemporaine. Elle
est maître de conférences en cinéma à l’université Paris 8, où elle
enseigne à l’Institut d’études européennes.
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