« Je pense que les peuples ont pris conscience du fait qu’ils avaient des intérêts communs et qu’il y avait des intérêts planétaires qui sont liés à l’existence de la terre, des intérêts que l’on pourrait appeler cosmologiques, dans la mesure où ils concernent le monde dans son ensemble ».
Pierre Bourdieu (1992)


jeudi 27 décembre 2012

écouter: Julien Brygo et Pierre Carles présentent leur film (réalisé avec Nina Faure et Aurore Van Opstal) "Hollande, DSK, etc."


écouter: Julien Brygo et Pierre Carles présentent leur film  (réalisé avec Nina Faure et Aurore Van Opstal) "Hollande, DSK, etc.
Chronique-Hebdo, Radio Libertaire, 27.12.2012


Une enquête de Julien Brygo, Pierre Carles, Nina Faure et Aurore Van Opstal
Avec la participation de Alain Accardo, Gilles Balbastre, Laurent Bonelli, Alain Garrigou, François Ruffin
Arapede Productions
2012

Au printemps 2012, en pleine campagne des élections présidentielles, une équipe de choc s’invite chez les notables de la presse parisienne pour les interroger sur le traitement de faveur dont ils gratifient François Hollande depuis les premiers jours de sa candidature. En plébiscitant le prétendant socialiste au détriment des autres candidats, les responsables de l’information ne sont-ils pas en train de préempter l’issue du jeu électoral ?
Hollande saura-t-il les consoler de l’effondrement de leur ancien favori, Dominique Strauss-Kahn ? Confrontés aux preuves de leur parti pris, directeurs de journaux, éditorialistes chevronnés et petits soldats du journalisme politique se cabrent, se défaussent, se récrient, s’énervent – et parfois se dévoilent…
BONUS : JUPPÉ, FORCÉMENT…
Comment s’exerce la démocratie quand un ministre en fonction,
secrétaire général d’un parti politique de première importance,
brigue la mairie d’une grande ville de province ? Comment les médias locaux traitent-ils l’illustre parachuté ? Que devient le beau principe de l’égalité de traitement entre les candidats ? Juppé, forcément… décortique une campagne électorale à travers le regard des journalistes et montre à quel point la politique, comme le reste, fonctionne à deux vitesses.


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