« Je pense que les peuples ont pris conscience du fait qu’ils avaient des intérêts communs et qu’il y avait des intérêts planétaires qui sont liés à l’existence de la terre, des intérêts que l’on pourrait appeler cosmologiques, dans la mesure où ils concernent le monde dans son ensemble ».
Pierre Bourdieu (1992)


mercredi 13 novembre 2013

video: Richard Wilkinson et Kate Pickett, Pourquoi l’égalité est meilleure pour tous


video: «L’égalité est‐elle meilleure pour tous?» Conférence-débat organisée par l' Institut Veblen, l'Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri) et la Chaire Développement durable de Sciences Po, 18 octobre 2013
Richard Wilkinson 
et Kate Pickett
Pourquoi l’égalité est meilleure pour tous
Les petits matins en coédition avec l’Institut Veblen et Étopia
2013

Présentation de l'éditeur
Pourquoi les Japonais vivent-ils plus longtemps que les Américains ?
Pourquoi y a-t-il plus de grossesses chez les adolescentes aux États-Unis qu’en France ?
Pourquoi les Suédois ont-ils la taille plus fine que les Grecs ? La réponse est chaque fois : l’inégalité.
État de santé, espérance de vie, obésité, santé mentale, taux d’incarcération ou d’homicide, toxicomanie, grossesses précoces, succès ou échecs scolaires, bilan carbone et recyclage des déchets, tous les chiffres vont dans le même sens : l’inégalité des revenus nuit de manière flagrante au bien-être de tous. Conclusion des auteurs : « Ce n’est pas la richesse qui fait le bonheur des sociétés, mais l’égalité des conditions. »
Richard Wilkinson a joué un rôle majeur dans les recherches internationales consacrées aux déterminants de la santé. Il a étudié l’histoire de l’économie à la London School of Economics avant de se former en épidémiologie. Il est aussi professeur émérite à l’école de médecine de l’université de Nottingham, professeur honoraire de l’University College de Londres et professeur invité de l’université de York (Angleterre). Il vit dans le Yorkshire du Nord (Angleterre).
Kate Pickett est professeur d’épidémiologie à l’université de York et membre du personnel scientifique du National Institute for Health Research. Elle a étudié l’anthropologie physique à Cambridge, les sciences nutritionnelles à Cornell et l’épidémiologie à l’université de Californie-Berkeley (États-Unis). Elle vit dans le Yorkshire du Nord (Angleterre).

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