« Je pense que les peuples ont pris conscience du fait qu’ils avaient des intérêts communs et qu’il y avait des intérêts planétaires qui sont liés à l’existence de la terre, des intérêts que l’on pourrait appeler cosmologiques, dans la mesure où ils concernent le monde dans son ensemble ».
Pierre Bourdieu (1992)


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mardi 9 octobre 2018

vidéo: Frédéric Lordon, La Condition anarchique. Affects et institutions de la valeur

Frédéric Lordon
La Condition anarchique  
Affects et institutions de la valeur
Seuil
L'Ordre philosophique
2018
Présentation de l'éditeur
Disons les choses d’emblée : la condition anarchique ici n’a rien à voir avec l’anarchisme qui intéresse la théorie politique. Lue étymologiquement, comme absence de fondement, an-arkhé, elle est le concept central d’une axiologie générale et critique. Générale parce qu’elle prend au sérieux qu’on parle de « valeur » à propos de choses aussi différentes que l’économie, la morale, l’esthétique, ou toutes les formes de grandeur, et qu’elle en cherche le principe commun. Critique parce qu’elle établit l’absence de valeur des valeurs, et pose alors la question de savoir comment tient une société qui ne tient à rien.
Aux deux questions, une même réponse : les affects collectifs. Ce sont les affects qui font la valeur dans tous les ordres de valeur. Ce sont les affects qui soutiennent la valeur là où il n’y a aucun ancrage. Dans la condition anarchique, la société n’a que ses propres passions pour s’aider à méconnaître qu’elle ne vit jamais que suspendue à elle-même.
Frédéric Lordon est chercheur en philosophie au CNRS. Sous le programme d’un « structuralisme des passions », il s’intéresse aux usages de la philosophie de Spinoza en sciences sociales. Il a publié, entre autres, Capitalisme, désir et servitude (La Fabrique, 2010), Imperium (La Fabrique, 2015) et Les Affects de la politique (Seuil, 2016)
 

samedi 22 octobre 2016

Publications de Pierre Bourdieu: sur le corps



Publications de Pierre Bourdieu
sur le corps



(Cette liste de publications sera mise à jour au fur et à mesure, version augmentée le 01.01.2017  Gilbert Quélennec)
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Célibat et condition paysanne, Études rurales, nº 5-6, 1962, p. 32-135,  aussi in Le bal des célibataires. Crise de la société paysanne en Béarn, Seuil, Points Essais, 2002

Avec Abdelmalek Sayad, Le déracinement. La crise de l’agriculture traditionnelle en Algérie, Documents, 1964, p. attitude à l'égard du 77-78; attitude du corps (habitus corporel) 88-89, 152-154; langage du 154-156

Esquisse d’une théorie de la pratique. Précédé de Trois études d’ethnologie kabyle ,Droz, 1972, Seuil, Points Essais, 2000, p.53, 228, 289, 294-25, comme opérateur pratique 80-82, 323-325; rapport au corps 289, 294-295; rapport au corps et temporalité 296-297; techniques du corps et arbitraire culturel 296-297; techniques du corps masculin et féminin 291-294; émotion 266-267, 290-291; espace corporel et espace cosmique 295-296; Hexis corporelle 276-277, 285-286, 291; Hexis corporelle de l'homme d'honneur 292; Hexis corporelle de la femme 292; incorporation 275, 289, 291, 296-300: inversion logique et mouvement du corps 80, 323-325, nudité 192 (n.28); nudité et déshonneur 27, 186 (n.3); pudeur 39-40, 49-54; sexualité 49, 66; rapport masculin à la sexualité 293-294; rapport féminin à la sexualité 293-294; symbolique du corps 294-296; virilité 49, 187 (n.4), 191 (n.23), 293

Remarques provisoires sur la perception sociale du corps, Actes de la recherche en sciences sociales, 1977, Numéro   14, pp. 51-54

La Distinction. Critique sociale du jugement , Minuit, Le sens commun, 1979, p.58, 84,169-171, 210-213, 227-229, 231, 239-241, 268, 281, 426, 430, 443, 448, 452, 544, 552-553, 533n, 558, 568, 573, aliéné 228; de classe 213; interne 232; expériences corporelles primitives 84-87; expression corporelle 424, 426; gymnastique corporelle 553; rapport au 210, 212, 228-229, 234, 241, 282n, 424, 426, 448, 492, 544; rapport au monde social et rapport au corps 552; représentation légitime du corps 448;  schéma corporel 210, 240,629; soins corporels 227-458; techniques du 543

Le sens pratique, Minuit, Le sens commun, 1980, p.87, 95-97, 99, 111-134, 150, 156-157, 233, 245, 356, 441n, 459; comme opérateur pratique 120, 157; comme pense-bête 115-116, 123-124; de classe 122; et mimesis 123-124; masculin et corps féminin 117-119, 121-122, 130; langage corporel 121; rapport au 118, 121-122, 123n, 124, 131; schéma corporel 22, 156; division du travail entre les sexes 19-21, 119, 121-122, 127, 130, 132, 164n, 246-247, 307, 321, 323, 356-362, 445

Questions de sociologie, Minuit, 1980, Reprise, 2002, p.14-15, 30, 35, 74-75, 133-134; et musique 156-158; légitime 181-182; socialisé 29; gymnastique et usage scolaire du corps 177; sport pratiqué comme dimension du rapport au 181-182, 189-194

Ce que parler veut dire. L'économie des échanges linguistiques, Fayard, 1982, p. hexis corporelle 84, 89-91

Sociologie générale, Vol. 2. Cours au Collège de France, 1983-1986, Seuil/Raisons d'agir, Cours & Travaux, 2016, p. biologique 327, 349,370, 419, 427, 617-618, 860, 906, 923, 953-955, 964

Choses dites, Minuit, Le sens commun, 1987, p. 80, 111, 136-138, 214-215; rapport au 153, 204; techniques du corps 77

La Noblesse d'Etat. Grandes écoles et esprit de corps, Minuit, Le sens commun, 1989, p.incorporation 10-11, 14, 54, 56, 59, 197, 238, 257-258; biologique 244, 257-258

Invitation à la sociologie réflexive (avec Loïc Wacquant) , deuxième édition, traduction intégrale, corrigée et augmentée (première édition en 1992 au Seuil dans une version abrégée), Seuil,  Liber, 2014, p. 118, 175, 201, 226, 252, 283n1; et genre 226-227; social fait corps 175-176, 178, 188 n1, 225

Méditations pascaliennes, Seuil, Liber, 1997, Points Essais, 2003, p.26, 41, 136, 156, 192-194, 196-201, 203-205, 216, 224-226, 241, 301, 348, 349; connaissance par 185-234; contrainte par 219, 242-248; chose 202, 299;  histoire faite 217

La domination masculine, Seuil, Liber, 1998, Points Essais, 2002, p.12, 19, 24, 31, 32, 33, 39, 40, 41, 46, 47, 48, 59, 60, 73, 82, 83, 91, 92, 93, 94, 96, 97, 100, 114, 1001, 141, 150, 162; construction sociale des corps 19-39; incorporation de la domination 39-53

Manet. Une révolution symbolique. Cours au Collège de France (1998-2000), Raisons d'agir/Seuil, Cours & Travaux, 2013, p. intelligence du 121, 123, 134, 135
 
Langage et pouvoir symbolique, Seuil, Points Essais, 2001, p.hexis corporelle 120-131, 136, 183


défense du corps, esprit de corps, corps constitué, etc.

avec L. Boltanski et P. Maldidier, La défense du corps, Information sur les sciences sociales, X, 4, août 1971, p.45-86

Homo academicus, Minuit, Le sens commun, 1984, esprit de corps, 80-81

Sociologie générale, Vol. 2. Cours au Collège de France, 1983-1986, Seuil/Raisons d'agir, Cours & Travaux, 2016, p. sociaux, corps professionnels 79, 127, 380, 400-402, 654-658, 799, 1014, 1045

Choses dites, Minuit, Le sens commun, 1987, p. corps constitué 165, 190; esprit de corps 215

La Noblesse d'Etat. Grandes écoles et esprit de corps, Minuit, Le sens commun, 1989, p. social 168, 257-258, 406-408, 541; défense du corps 188-291; esprit de corps 111, 254-259, 542; grand corps 198

Sur l'Etat, Cours au Collège de France, 1989-1992, Seuil/Raisons d'Agir, Cours & Travaux, 2012, p. Corps d'Etat, d'inspecteurs, de fonctionnaires, 26, 40, 61, 160, 181, 189, 277, 315, 323, 334, 335, 407, 419-420, 430, 432, 469, 485, 512, 520; corps constitué 81, 300; corps judiciaire/juridique 227, 334, 516, 523, 525, 527, 591; corps politique 301, 310; corps sacerdotal/ecclésiastique 334, 362, 469; corps technique 40,44

Raisons pratiques. Sur la théorie de l'action, Seuil, 1994, Points Essais, 1996, p.37, 39, 43, 139-140, 142-143, 163, 193

Méditations pascaliennes, Seuil, Liber, 1997, Points Essais, 2003, p.constitué 269, 350; esprit de 58, 209, 210

Manet. Une révolution symbolique. Cours au Collège de France (1998-2000), Raisons d'agir/Seuil, Cours & Travaux, 2013, p. institution 168, 180, 212, 214, 219, 237, 358; défense du corps 220, 221, 383, 384; corps et champ 353

Les structures sociales de l'économie, Seuil, Liber, 2000, p.95, 129, 140, 142, 143, 146, 162, 166
 



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Voir également:
   


Publications de Pierre Bourdieu: Programme pour une Sociologie du Sport

 
Publications de Pierre Bourdieu: à propos de l'espace social et des classes sociales

Publications de Pierre Bourdieu: les concepts d'habitus, de capital et de champ 


Publications de Pierre Bourdieu: La philosophie de l'action (une théorie dispositionnaliste)

mercredi 12 octobre 2016

La dynamique des groupes littéraires, Sous la direction de Denis Saint-Amand

La dynamique des groupes littéraires
Sous la direction de Denis Saint-Amand 
P.U. de Liège
 Situations 
2016
Présentation de l'éditeur
Les groupes littéraires sont portés par le projet d'une « œuvre commune », selon le mot de Sainte-Beuve. Instance majeure de l’institution littéraire, ils constituent un objet privilégié pour l’histoire de la littérature et, en particulier, pour celle qui se construit avec les outils de la sociologie. Se pencher sur leurs mécanismes de constitution et ce qui conduit à leur dissolution, leurs rites et leurs croyances, leurs forces de cohésion et la manière dont ils se donnent à voir publiquement, c’est se donner les moyens de comprendre la façon dont la littérature se vit à une époque donnée.
Les auteurs rassemblés ici se sont donné pour objectif d’examiner à nouveaux frais la sociologie mais aussi la poétique des groupes littéraires. Des cénacles romantiques aux réseaux moins denses de l’époque contemporaine — en passant par les groupuscules fin de siècle, les cohortes surréalistes et certaines configurations académiciennes —, l’ouvrage alterne études de cas et réflexions transversales sur la dynamique des collectifs littéraires, aussi bien que sur les outils qui permettent de l’appréhender.
Table des matières
Denis Saint-Amand
Les groupes littéraires : logiques et dynamiques ........................................  3
Anthony Glinoer et Vincent Laisney
La temporalité institutionnelle des cénacles ..............................................  19
Joseph Jurt
Les groupes littéraires dans la deuxième moitié du xixe siècle ...........  41
Paul Aron
Le symbolisme : groupe littéraire et habitus mondain ..........................  73
Daniel Grojnowski
Des Groupes et des Œuvres. Zutiques, Hydropathes, Incohérents ..  85
Caroline Crépiat
Les logiques de connexion au Chat Noir (1882-1897) ............................  97
Antoine Piantoni
De l'école au groupe : le cas des poètes fantaisistes ...............................  109
David Vrydaghs
Du rôle des outsiders dans la dynamique du groupe surréaliste
français. Le cas de René Crevel ......................................................................  119
Michel Lacroix
Les revues québécoises et la hantise de la chapelle ................................  129
Olivier Lapointe
Posture collective et survie organisationnelle. L'exemple de la fondation de l'Académie canadienne-française            143
Aline Marchand
Le Nouveau Roman, du cliché minuscule à la majuscule institutionnelle  155
Gérald Purnelle
Le Groupe de Liège autour de Jacques Izoard ........................................  167
Bibliographie sélective........................................................................................................ 179
Notices bio-bibliographiques........................................................................................... 185
 
 

lundi 18 avril 2016

écouter: Claude Didry, L’Institution du travail. Droit et salariat dans l’histoire


écouter: Claude Didry, L’Institution du travail. Droit et salariat dans l’histoire
La Suite dans les idées par Sylvain Bourmeau, 16.04.2016
 
Claude Didry
L’Institution du travail 
Droit et salariat dans l’histoire
La Dispute
Travail et salariat
2016
Présentation de l'éditeur
Le droit du travail est sous le feu de critiques – il serait archaïque, trop protecteur, trop compliqué… – justifiant une véritable hystérie réformatrice. Mais d’où vient cette institution aujourd’hui si décriée par certains ?
Claude Didry, chercheur en sociologie, rend compte ici des dynamiques historiques du droit et du travail, telles qu’elles se déploient de la Révolution française jusqu’à nos jours. Cette analyse permet de prendre la pleine mesure de la rupture que représente l’adoption d’un code du travail dans la France de la Belle Époque. Elle permet de saisir le contrat de travail comme la base des coopérations durables et innovantes entre ouvriers, ingénieurs et techniciens, dont sortiront tout à la fois les industries et les grandes luttes sociales du XXe siècle. Ce droit nouveau ne se réduit pas à un empilement irrationnel de protections présentées aujourd’hui comme désuètes, mais institue le travail comme une activité sociale définie par un temps, la durée légale, et un lieu, l’établissement. On comprend dès lors que la remise en cause de ce droit ne peut qu’accentuer les dérives d’un capitalisme financier qui déstabilise les entreprises, en portant atteinte, dans sa substance même, au travail.
Cette grande fresque historique conduit à redécouvrir l’importance du droit du travail dans la vie des salariés, et à proposer de le prolonger par une sécurité sociale industrielle qui remettrait le travail au centre de l’entreprise et de la société.
Claude Didry est spécialiste reconnu de l’histoire du droit du travail et de la sociologie des relations professionnelles. Il a publié "Naissance de la convention collective, débats juridiques et luttes sociales en France au début du XXe siècle", aux éditions de l’EHESS, en 2002 ; avec Annette Jobert, il a dirigé "L’Entreprise en restructuration. Dynamiques institutionnelles et mobilisations collectives", aux Presses universitaires de Rennes, en 2010. Il contribue à de nombreuses revues en France et à l’international. Il est directeur de la revue "L’Homme et la Société" depuis 2009.

mercredi 16 mars 2016

Claude Didry, L’Institution du travail. Droit et salariat dans l’histoire

 
Claude Didry
L’Institution du travail 
Droit et salariat dans l’histoire
La Dispute
Travail et salariat
2016
Présentation de l'éditeur
Le droit du travail est sous le feu de critiques – il serait archaïque, trop protecteur, trop compliqué… – justifiant une véritable hystérie réformatrice. Mais d’où vient cette institution aujourd’hui si décriée par certains ?
Claude Didry, chercheur en sociologie, rend compte ici des dynamiques historiques du droit et du travail, telles qu’elles se déploient de la Révolution française jusqu’à nos jours. Cette analyse permet de prendre la pleine mesure de la rupture que représente l’adoption d’un code du travail dans la France de la Belle Époque. Elle permet de saisir le contrat de travail comme la base des coopérations durables et innovantes entre ouvriers, ingénieurs et techniciens, dont sortiront tout à la fois les industries et les grandes luttes sociales du XXe siècle. Ce droit nouveau ne se réduit pas à un empilement irrationnel de protections présentées aujourd’hui comme désuètes, mais institue le travail comme une activité sociale définie par un temps, la durée légale, et un lieu, l’établissement. On comprend dès lors que la remise en cause de ce droit ne peut qu’accentuer les dérives d’un capitalisme financier qui déstabilise les entreprises, en portant atteinte, dans sa substance même, au travail.
Cette grande fresque historique conduit à redécouvrir l’importance du droit du travail dans la vie des salariés, et à proposer de le prolonger par une sécurité sociale industrielle qui remettrait le travail au centre de l’entreprise et de la société.
Claude Didry est spécialiste reconnu de l’histoire du droit du travail et de la sociologie des relations professionnelles. Il a publié "Naissance de la convention collective, débats juridiques et luttes sociales en France au début du XXe siècle", aux éditions de l’EHESS, en 2002 ; avec Annette Jobert, il a dirigé "L’Entreprise en restructuration. Dynamiques institutionnelles et mobilisations collectives", aux Presses universitaires de Rennes, en 2010. Il contribue à de nombreuses revues en France et à l’international. Il est directeur de la revue "L’Homme et la Société" depuis 2009.

vendredi 28 octobre 2011

Patrick LEHINGUE, Le vote. Approches sociologiques de l'institution et des comportements électoraux


Patrick LEHINGUE  
Le vote 
Approches sociologiques de l'institution et des comportements électoraux
La Découverte
2011

Présentation de l'éditeur
À la fois technologie politique et pratique sociale, le vote nous apparaît paradoxalement comme un tissu d’évidences peu susceptible de retenir notre curiosité, mais aussi comme un ensemble d’énigmes dont certaines restent irrésolues. Par la vertu des sondages d’opinion, on sait – approximativement – pour qui les électeurs votent, mais beaucoup moins pourquoi ils le font. Quels genres d’échanges se (dé)nouent lors d’une campagne électorale ? Quels types de préférences s’y dessinent ? Quelle part de leur existence sociale et de leur trajectoire biographique les électeurs engagent-ils dans l’acte de voter (ou de ne pas le faire) ? Cet ouvrage tente de reprendre ces questions en interrogeant le(s) vote(s) sous trois rapports : l’élection comme institution censée assurer l’expression de convictions politiques en même temps que la désignation de « représentants » ; les modèles d’interprétation des votes et la succession des «écoles » analysant « ce que voter veut dire » ; les controverses autour de la stabilité (versus volatilité) des électeurs, leur degré de compétence et la portée du processus d’individualisation de leurs votes. 
Patrick Lehingue est professeur de science politique à l’université de Picardie et chercheur au CURAPP. Il est l’auteur de Mobilisations électorales (en coll., PUF, 2005) et de Subunda. Coups de sonde dans l’océan des sondages (Le Croquant, 2007).